LE GAULOIS D’AVEYRONIE
Il était une fois, dans ce beau pays de l’Aveyronie, un petit village perché sur le mont de Jupiter.
Il se défendait de tout envahissement surtout de la part des Romains, pas Saints, au bord du Tarn les « Saint Romain du Tarn » et luttait âprement pour conserver son identité : le Mont de Jaux.
Dans ce paisible village donc, les familles aimaient à se retrouver entre elles, elles protégeaient leurs enfants et ce depuis des générations…
Tous étaient très matinaux sinon
« tu te lèves ! Zou ! »
Ils travaillaient au village ou à proximité.
Ils étaient très économes et si un de leurs enfants abimait ses affaires, il était banni avec le reproche : « tu uses té !»
Et pour revenir, il devait, à la nuit tombée, frapper de loin à la porte et, s’il était accepté, cela se finissait dans la joie autour d’un repas bien arrosé
.
D’où la tradition du « Tu uses té » bien connu de toute la région.
Pourtant, l’une de ces enfants commença très tôt à déroger à cette règle immuable.
Colettou se maria avec un étranger de la capitale et s’en alla vivre avec lui.
Son grand père, Mort X , décédé on ne sait pas quand, le lui reprocha vivement.
Bien des années plus tard, alors qu’elle s’était séparée de son Parisie, elle revint au village natal mais avec un autre étranger.
Comme on ne le connaissait pas on disait de lui, « c’est le mari de Colettou. »
On lui pardonnait puisqu’il ramenait la fille au pays…
Un peu fort de sa personne on disait en parlant de lui « Ô le bel X ».
Il fut très vite accepté pour son goût pour le sanglier…
Son idée fixe, c’était les chiens…
Il avait parait-il des rapprocheurs pour l’aider dans son art, et des amis des gars cons , saints en joie
Mais ça ne suffisait pas à Colettou.
…
A quelques kilomètres de là était installé un camp d’as, près de la rivière donc au ras du sol.
Ils appelaient les habitants les « camps d’as sol. »
C’étaient des « as de la terre X ».
Un jour, au cours d’un repas, le magistrat monta sur la table pour les annoncer
Elle les rejoignit donc malgré les remarques de ses compatriotes :
- « Tu vas vers le brouillard…
- Oui mais ce sont des As… Et comme lui, ils sont de la terre X, d’une terre inconnue ».
Notre bel X devint donc un camp d’as sol.
Il sympathisa avec ces gens de la terre X
Il fit visiter son autre village à ses amis en leur disant : « Mon Jo ! viens !… »
Il continua avec eux de guerroyer les sangliers du pays.
Cherchant parfois ses chiens au GPS mental.
Il travailla dur pour enlever les cailloux de son jardin,
Bien aidé par ses nouveaux amis, surtout l’un d’eux : Christ X
Il s’appelait ainsi car il n’y croyait guère au Christ
Il en connu d’autres : Commit ’X, Cèdre X, fil X, . tous des as de la terre X
Tout en gardant et créant des amitiés sincères avec ceux du « Mont Jo »
Christ X était élu du village et veillait au bonheur de ses habitants. Il les accompagnait dans leurs moments difficiles
Leur faisant gouter les menus plaisirs de la vie
et les spécialités du pays
Ainsi, ceux du Mont et ceux du Val apprirent à se connaître et à s’apprécier.
Colettou était heureuse, elle sillonnait les terres de son pays, tous les mardis, avec ses amis les caminaïres. Ils avaient choisi le Mardi plutôt que le Jeudi, jour de Jupiter, pour ne pas choquer les candassols.
Ils se croisaient parfois au cours de leurs balades.
Tout allait très bien, et le bel X, inconnu à son arrivée, devint l’ Al1 puisque maintenant il était reconnu comme le N°1 des ALliés.
Tout allait très bien, le bel X, et Colettou vivaient des jours paisibles dans ce doux berceau de Candas. Ils s’aimaient et Colettou voulut un enfant. Elle est devenue Maire. Le Bel X devint donc le mari de la maire, le Paire X.
La grossesse fut compliquée par la présence d’un corps étranger, dans le corps au na qui avait la vie russe . il a fallu le faire partir grâce à un con, finement .
Elle s’est entourée d’une équipe pour laquelle elle a choisi des individus briants, tous certains de ne pas prendre un four qui niaient donc les difficultés , un peu cavaliers mais solides comme un roc, riches qui aiment l’art, qui ne boudent pas, cherchant éventuellement à faire carrière, et bien sûr de quelques dames de confiance, l’une d’elle, fine comme une fleur, un peu soupe au lait mais quand même, en gros, liée à l’équipe..
Avec eux Colettou se lança dans des projets gigantesques, qui la dévoraient, s’y donnant jour et nuit, tant est si bien que le paire X, petit à petit, se sentit oublié et ne devint plus qu’une voix, la voix anonyme du répondeur. Elle fit l’acquisition d’une robe un peu particulière lui donnant un air épicé, la robe air ta
Il avait un peu perdu de son aura. Elle occupait le haut du pallier, lui devenu simple habitant, un manant comme la plupart des autres, le père manant.
Il essayait bien de préparer quelques potions magiques pour quand elle rentrait, le midi, rien n’y fit. Il choisit donc la compagnie de Sally, une boule de poils blancs qu’elle perdait généreusement sur les vêtements ce qui hérissait Colettou.
De plus en plus atteint par le Parc in son, pour faciliter ses déplacements il fit l’acquisition d’un véhicule à 4 roues
Un quadricycle communément appelé Quad
Pas facile à maitriser cet engin
Pendant ce temps, la petite Sally faisait la conquête de Colettou.