D'hier à Demain
La Chasse

La Chasse

Dès que j’ai pu, j’ai suivi mon père à la chasse.

D’abord au chien d’arrêt, tout gibier.

Puis en arrivant à Virollet, je me suis « spécialisé » au lièvre avec des chiens courants toutes races si je peux dire « race » puisqu’il ne s’agissait que de ce j’appelle « corniaud » différents de « batard ». Le corniaud étant un mélange d’origine inconnue,tandis que le batard (plus « noble ») étant l’union de 2 races différentes.

LUNAS

Arrivé à Lunas, il m’a fallu changer de gibier puisque le lièvre était réservé aux propriétaires terriens. Ils souhaitaient pouvoir faire un tour sur leur propriété après avoir accompli leur travail à la ferme. L’espace ne devait pas avoir été « souillé » par un autre chasseur.

Je me suis donc mis au sanglier. Complètement ignorant de cettte chasse en équipe, c’est surtout Tango qui m’a apppris les rudiments relatifs à cet animal. J’ai été trésorier de l’Association Départementale des chasseurs de Grand Gibier de la Dordogne juqu’à sa dissolution pour être remplacée par une filiale de l ‘Association Nationale..

J’ai adhéré à d’autres associations : l’AFACCC et le Club du sanglier.

L’AFACCC Dordogne n’existait pas véreitablement, les cotisations disparaissaient. j’étais rattaché au Lot et Garonne dont le Prsésident m’a demandé de reconstituer la section Dordogne. Ayant d’autres engagements je n’en ai pas pris la présidence mais la trésorerie. C’est Jérôme Brudy qui en a pris la présidence. Impossible de travailler avec lui qui voulait filtrer les adhésions pour n’accpter que cellles qui lui étaient favorables : pas de contestations.

Je dis bien rudiments car on ne connait jamais tout de ce gibier parfois si surprenant. Même maintenant, après 40 ansderrière lui, sur différents territoires, il me pose parfois problème. Et puis je n’ai peut-être pas la faculté qu’ont certains de tout enregistrer et analyser. Je suis souvent dans la consommation du loisir plutôt que dans la dissection des phases de la chasse.

Bien sûr j’ai été amené à chasser d’autres gibiers comme le chevreuil ou le cerf, mais pas avec autant de passion.

Ce n’est pas le tir du gibier qui m’intéresse, ni le tableau de chasse, ce qui me plait c’est d’aller le chercher là où il se cache et le faire partir. C’esr pour ça, ce qu’on appelle le rapprocher, que j’ai élevé des Gascon Saintongeois. Chasser ne veut-il pas dire faire partir ?

A Lunas, j’ai été sollicité pour faire partie du bureau de la société de chasse, D’abord par Jacques Sevin qui succédait à son beau père Clovis Faurre, puis, comme ce bureau n’a pas tenu, par Michel Liabaste. J’étais secrétaire avec Jean Yves Lespinasse comme Président, Michel Liabaste Vice Président, Jean Bouyssou Trésorier.

Avec Jean Yves, devenu ami, nous nous entendions parfaitement. Nous étions sur la même longueur d’onde au sujet de la chasse. Nous avions à l’époque un technicien de la Fédération, Michel Bonnefille, qui a été chargé de mettre en place le plan de chasse chevreuil. Pas facile pour lui, mais il a mené ça de main de maître si bien qu’on est passé de 2 jours de chasse avec à paine une dizaine de bracelets à plus d’une quarantaine sur toute la saison. le chevreuil était devenu un gibier à part entière et non une bête d’abattage qu’on éliminait pour chasser le sanglier tarnquilles.

Le sanglier est passé en plan de chasse également, ou plutôt en taxe d’abattage puisqu’il n’y avait pas à proprement parlé de planification. On pouvait avoir autant de bracelets qu’on voulait et quand on le voulait.Il s’est mis en place des GIC (Groupement d’Intérêt Cynégétique) pour gérer les territoires. J’en ai été le trésorier quelques années.

Secrétaire donc jusqu’en 2011, année ou j’ai été nomé à Prigonrieux en tant qu’instit. N’enseugant plus à Lunas, il m’a fallu trouver un droit de chasse pour pouvoir chasser..

BOSSET.

Jai déménagé à Bosset ou j’ai pris la présidence de la société.Fort de mon expérience à Lunas, j’ai mis en place la même organisation.

J’ai créé ine réserve de chasse, dériée par mes collègues de sanglier qui considéraient qu’on ne pouvait avoir de réserve pour le sanglier et par les propriétaires inclus qui se plaignaient que les lièvres ayant trouvé refuge dans cette réserve, faisaient des dégats dans leur jardin !!!

Très particulier Bosset. Deux équipes de sanglier. Il fallait rester neutre et ne pas avantager sa propre équipe. Que de reproches de l apart de mes copains de laisser chasser l’autre équipe pourtant composée de propriétaires terriens.Ils étaient affublés de différents noms d’oiseaux mais il me fallait tenir ce qui n’était guère reconnu par les gars « d’en face ». Pensez, un gars qui n’était pas né à Bosset qui voulait commander, eux, les natifs, dont la plupart n’habitaient même plus à Bosset. Le sang de La Lidoire leur coulait dans les veines…

L’EQUIPE

Il fallait faire un distingo entre la société et l’équipe. Deux raisons au départ :

La location des territoires de la SOGAP

et le location du rendez-vous de chasse. Plus les bracelets obligatoires pour le plan de chasse sanglier. le chevreuil étant resté à la société qui les répartissait sur 5 groupes.

La location de territoire n’était pas dans le principe de nos groupements de Propriétaires qui mettaient à disposition gratuitement de leur propeiété. Certans gros propriétaires avaient bien tenté de nous louer luer terrain, mais c’était s’expoer à une généralisation et donc à une augmantation des cotisations.

Pourtant, ça morcelait notre territoire. Un dirigeant de scierie de Bergerac, M Michel Debever a fait faillite. Toutes ses parcellles sont revenues à la SOGAP; qui louait celles de nos communes? C’est l’équioe qui a pis cette location et rétricédait son droit de chasse aux sociétés correspondantes.

Nous cherchions un lieu de rendez_vous neutre car après avoir été installé chez Suleau qui imposait du cop ses dévidératas nous souhaitions être indépedants pour choisir nos invités et nos lieux d’attaque.

J’ai négocié avec Max Quyruilh la location de samaison inoccupée, presqu’en ruine et qu’on a retapé pour ne faire une rendez-vous correct et une sallle de découpe moderne.

Tous ces frais, y compris les bracelets, ont été évalués et nous avions donc en plus de la carte aux société une cotisation d’équipe.