J’ai toujours eu des chiens.
A la maison mon père avait un chien d’arrêt : Tana, genre de braque bleu d’auvergne.
Ma première chienne s’appelait D’zeta braque allemand que je ne pouvais garder chez moi. Elle était donc en pension chez mes parents à St Vivien. Un jour, franchossant le mur de la cour,elle s’est fait écrasée par une voiture.
En 1974, année de naissance de mon fils, j’ai eu une Beagle : Japy. Elle préférait le renaird aiu lièvre. Je l’ai donc cédée à un Louvetier.
Ensuite un Epagneul Breton : Hyppie. Super gentil, je le prenais dans la classe. Mais voilà, Chantal ne supportait pas les chiens. J’ai dû m’en séparer.
Un Berger Allemand : Nancy de la tour des quatre sergents..
Puis toutes sorte de chien plus ou moins hétéroclytes., la plupart médiocres.
J’ai commencé à m’intéressaer aux chien de races lorsque j’ai eu une Basset Griffon Vendéen : Maya. Super affectueuseet chassany=t lelièvre remarquablemny bien. Je l’ai faite reproduire. ça a donné Proncessse et Panthère. Leir nom aurait dû commencer par un O mais je n’en ai pas trouvé qui me plaise. Jacques a gardé Panthère et moi Princesse..
Arrivé à Lunas, il m’a fakku cesser la chasse au lièvre pour rejoindre une équipe au sanglier.. Je me suis donc défait de mes chiens à Lièvre, panthère est devenu Ondine ches M. et Mme Bru de St Georges de Blancaneix. Des amateurs de beaux chiens et de Vénerie.
Feuilletant le livres de chasse, une race semblait particulièrement douée sur le sanglier : le Griffon Nivernais.
J’ai donc acheté par correspondance une Femelle Roxane et un Mâle Raboliot des Monts de Gy je crois.A un an, alors que les gars avaient lancé un sanglier, au saut de la route neuve, entre Lunas et Bosset, j’ai mis mes deux chiens derrière les autres. Roxane n’a pas suivi, mais Raboliot est parti. Je l’attendais au retour au cas ou il abnadionnerait.Les gars me tenaient informé il était toujours dans la poursuite. Prometteur. la Chasse revenait vers Bonnétias etavait attiré l’attention d’autres chasseurs ne faisant pas partie de L’équipe. Soudain, alors que ça allait ressauter la route neuve, plusieurs coups de fusil. On s’est vite rendu sur les lieux pour consrater qu’un de ces arrisvistes, M. Portier, venait de tuer mon chien qui sortait de la forêtépuis. Trois balles dans le corps. Il n’a pas eu le temps de voir que c’était un chien…. .
Plus qustion d’avoir de chiens sombres. Je suis allé chez Franck Lévêque à qui j’avais déjà acheté une anglo pour prendre un chien blanc, un Gascon, Socrate.Il m’avait appris à distinguer un Ariégeois d’un Gascon. Il m’avait confié avoir recréé le Petit Gascon à la demande de M. Bachala et ce , à partir de Français noir et blanc,. Certains de ses chiens manquaient de gorge et de coffre, la poitrine n’atteignait pas toujours le coude.
J’ai apppris par la suite qu’il était le frère de Soleil, un chien renommé dans la race. Je l’ai habitué très tôt à la nature. Il était magnifique, un caractère bien trempé. Un jour qu’on cherchait le renard vers Paufy, il y avait pourtant des chiens dominants, il a trouvé un morceau de viande qui trainait et l’a vigoureusement défendu pour ne pas se le faire prendre par las autres . Quelques secondes après il fut pris de convulsions et venait me mourrir dans les pieds, c’etait un appat empoisonné.;;
J’étais désespéré. Un des chasseurs, Michel Liabaste m’a dit qu’il avait un cousin à Tuilières qui avait des chiots. Je suis allé chercher Tango.
C’est avec lui que tout a commencé réellement. La passion pour le sanglier et la passion pour le Gascon.
Inoubliable. D’une intelligence laissant à penser qu’on communiquait.On était en osmose.Certes, un copain devenu ensuite un ami ,avait repéré ses qualités et le prenait souvent au pied. IL connaissait bien cette chasse et son territoire. Ce qu’il apprenait à Tango, Tango me l’apprenait..
J’ai donc commencé à m’équiper en Gascon. Je suis revenu chez Franck pour y prendre Ardent de la vallée Azacoise/ Très moyen, manquant de coffre.Je ne vais pas tous les énumérer, la liste serait longue, mais certain ont beaucoup compté. J’ai toujours eu un bon chien. Quand l’un perissait un autre prenait la relève. ee qui fait que j’étais particulièrelent sollicité pour mener la chasse..
J’adhérais au club du bleu en 1986. J’ai participé en tant qu’exposant à quelques expositions dont quelques grands rendez-vous : Rochechouart en 1987 d’où j’ai ramené une superbe lithographie qui décore mon séjour, à Sorges en 1990 avec l’association « Hardy Virelade » que j’avais créée avec quelques collègues de chasse afin de présenter nos chiens en meute car nous n’en avions pas assez chacun., à Egletons en 1994, ou à Maurens en 1998.,
Pour suivre le nouveau standard de 1990, il falllait baisser la taille, j’ai donc acheté des Aruégeois. Pas terrible sur le sanglier..Salomon me l’avait dit e me vendant Igo et Hardy. Ce sont des origines à Lièvre. J’ai « vendu » l’un d’eux, Hardy, à Maurice Chastel. En échange, il m’a donné Navacelle et Jéticho que j’ai offert à Loulou.Un excellent chien mais qui s’est fait tuer pas un sanglier.
Loulou affectionnait les Gascon. Il en avait plus d’une trentaine au chenil. Il était sensible à mes recherches de qualité. Il n’hésitait pas à m’offrir un chien qui me paraissait correspondre à ce que je cherchais. Bien entendu, il était prioritaire pour les produits de mon élevage. Nous avons toujours fonctionné comme ça il me donnait, je lui donnais. J’ai pris mon affixe « Les sources de la Lidoire » en 2007..
Qui ne se souvient pas de Larzac, Navacelle, Touraine, Taïaut, Azur pour les meilleurs ?
Navacelle avait la chasse viscérée au corps. Dotée d’un nez excellent, elle pouvait rapprocher less angliers en plein été sur des terrains durs et secs comme de la pierre. Elle était voie unique sauf pour les chats et les volailles qu’elle passait de vie à trépas et me ramenait son forfait. Il fallait négocier avec les voisins, sans parler des canards d’ornement que nous avions acheté pour notre étang.
Larzac venait d’une chienne appartenat à M. Flocklay Ange, issue de chez Loulou. avec un de mes chiens Diamant venant d’une chienne à Michel Liabaste, Thaïs et de Tango.
J’ai fait la connaissance de Loulou